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mardi 7 décembre 2010

un reportage de témoignages ...

Un moment clé... un divorce, ce qui justifie, ce qui dramatise... vengeance ou perversité ?
Lorsque des parents se séparent, certains enfants sont parfois manipulés par l'un des parents. Ils développent alors le syndrome connu par les spécialistes comme l'aliénation parentale : l'enfant devient un outil de la guerre que se livrent les parents et rejette violemment l'un d'eux. Ainsi, Anne, 6 ans, fond en larmes lorsqu'elle voit son père. Sa mère tente par tous les moyens, dont des accusations mensongères, de le faire disparaître de leur vie. La fille âgée de 7 ans de Richard a de telles crises d'angoisses qu'elle est parfois hospitalisée. Des pères et des mères témoignent de ce phénomène, face auquel la justice et la police disposent de peu de moyens.
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Quelques clés...

Pour commencer, oh , je pensais mettre des morceaux du wiki. Mais, vous verrez en bas de page, un fil d'actualité, et je m'y suis arrêté: cela parlait de la violence faite aux hommes (25 hommes<>140 femmes meurent/an) Oh cela fait polémique, mais surtout, parfois il y a des commentaires qui valent l'article.
Je vous les reproduit ici:
de Alain du 94 :
vous avez raison d eparler des normes sociales comme principale cause des violences conjugales... et si vous connaissiez la violence contre les hommes vous comprendriez que la source est la même...
dans les cas observés, souvent le femme exige de son homme le respect des normes qu'elle a intégré... il lui demande d'être un homme, pas d'être une personne... et comme il n'y arrive pas (comme les femmes battues, il n'a pas choisie sa compagne par hazard) il se fait détruire...
en fait la femme tortionnaire se comporte comme l'homme tortionnaire, et seule la violence physique finale diffère. on détruit l'ego de l'autre, on le rend dépendant, on le convainc de son infériorité de ses devoirs ...
sauf que pour un homme cette destruction mentale est bien plus destructrice que pour la femme, dont la structure est plus inconditionnelle... la violence finale, ce n'est pas la femme qui la commet, mais elle la fait commettre par l'homme qui en a la force...
comme cité dans ce fil de discussion, il y a le suicide, l'auto-destruction, ou comme le meurtre (plutot rare dans ce cas)... si l'homme battu tue sa femme il n'aura aucune excuse (contrairement aux femmes battues qui sont jugées mais avec compassion) pas même de lui-même, car il sais que c'est de sa faute.

il faut comprendre que hommes et femme ne sont pas aussi compétents en violences physique et mentale, et ne sont pas aussi sensibles a ces violence.
une baffe a une femme et elle fini comme la copine de cantat le crane fracassé sur une table...
une campagne de reproche a un homme et il fini par se saouler et se flinguer. l'homme est dépendant de son utilité perçue. il a un égo "conditionnel".


certains sociologues y voient même la raison du machisme, et de la remontée de l'intégrisme dans certaines zone, qui serait une défense pour maintenir artificiellement le statut social de l'homme, statut qui est en train de se faire laminer par les changements économiques. a rapprocher de la montée du racisme dans les zones à blancs pauvres...

a ne pas sous estimer aussi l'intelligence sociale et les compétences en communication supérieure en moyenne des femmes qui permet de se faire passer pour une victime.
j'ai vu le cas dans un divorce... tout le monde a défendu la femme, puis on a compris ce qui s'était passé quand on a vu le même schéma se reproduire avec la femme, et pas avec le mari, qui était finalement un gars faible... ya des gens qui finalement on décidé depuis de plus se méler des affaires de couples car ils ont eu l'impression de se faire manipuler.

j'ai aussi vu le même cars d'un manager pervers qui avait réussi a convaincre tout le département que la victime était une manipulatrice... sociopathie ou histrionisme simulé, chacun utilise les armes qu'il maitrise.


@19
ben oui, pourquoi une pénétration seulement... le viol n'est pas un acte sexuel mais une négation de la libre volonté de l'autre... mais il est vrai que la loi, est nettement moins misandre que sa pratique. les cas non standards de viol par des femmes sont traités différemment, et pour être honnête sont simplement jamais dénoncés sauf quand il y a eu torture. je suis même convaincus que plus de 90% des gens ne comprendrais pas qu'une homme abusé sans torture se plaigne. et pourtant quand on connais la théorie psychologique du viol, on comprend que le consentement est le seul facteur important du viol.
mais je suis quand même d'accord que la loi est bien plus équilibrée en général que l'inconscient collectif. c'est un des intérêt des loi établies sur un fond théorique et avec une esprit de neutralité... les contraire des loi de circonstance à la sarko.
j'ai aussi apprécié les USA qui dans leur logique procédurères ont bien reconnus qu'un homme pouvait être victime de harcellement sexuel au travail par une manager.